Le climato-scepticisme est franchement
une régression, à tel point que même les
autorités fédérales Suisse ont ratifié les accord
s de Paris de la COP21
en 2015. Viser la neutralité carbone en 2050 signifie réduire
chaque année nos émissions de GES de 5 %
par rapport à l’année précédente. Soit une réduction globale de ( 1-0.05)30 soit une réduction de 80 % et un solde de 20 % des émissions actuelles. En d’autre termes sur trente ans nous devrions diviser par 5 notre production de GES. Les GES sont le résultat de la combustion d’éléments fossiles (pétrole, gaz, charbon) et aussi de méthane d’origine agro-industrielle et début de dégazage des permafrosts. La mesure des émissions se fait en équivalent CO2 du fait de la prééminence de cette composante. Toute combustion de combustible fossile donne du CO2 et de la vapeur d’eau (H2O) qui sont tous deux des gaz à effet de serre, mais le premier à une très longue durée de viei, et le second n’a qu’une durée de vie très courte.